Œdipe au Lucernaire (2012) – Presse :
- La Terrasse
- Webthea par Gilles Costaz
- Le Figaro
- Froggydelight
- Théatre.com
- Les trois coups
- TheFrenchMag
Le Misanthrope au festival de Collioure (2012)
L’École des femmes au festival de Collioure (2011)
En Passant au Théâtre du Marais (2010):
Le Tartuffe au festival de Collioure (2010)
L’Avare au festival de Collioure (2009)
Autres revues de presse du festival de Collioure:
- Le Songe d’une nuit d’été (2006)
- Le Malade Imaginaire (2005)
- L’Amour Médecin, La Jalousie du Barbouillé, Le Mariage Forcé (2004)
Extraits:
Catherine Robert, LA TERRASSE n°195, 10 Février 2012:
Le vertueux Œdipe (incarné avec force par le beau Vincent Domenach, poitrine haletante et corps pantelant) et l’intelligente Jocaste (à laquelle Marie Grudzinski offre la belle et tranquille assurance d’une grande reine, et les rondeurs bienveillantes d’une mère déterminée à ne pas s’en laisser conter par les valets des dieux fumeux), gouvernent Thèbes avec sagesse.
Philippe Person, FROGGY’S DELIGHT, février 2012:
On appréciera particulièrement la sobriété de l’interprétation de Vincent Domenach, qui ne fait jamais sombrer Œdipe vers le pathos, ainsi que celle de Marie Grudzinski à son unisson dans le rôle de Jocaste. Il y a de la raison dans leur déréliction, ce qui va bien dans le sens voltairien.
Christophe Giolitto, LES TROIS COUPS, février 2012:
Se distinguent particulièrement Antoine Herbez, imposant Philoctète, et Vincent Domenach, remarquable Œdipe.
Noémie Courtès, THE FRENCHMAG PERFORMANCE AND DRAMA, mars 2012:
Œdipe (Vincent Domenach), qui lutte désespérément contre sa destinée, et en rejette la responsabilité sur les dieux, est remarquable.
Audrey Jean, THÉATRE.COM, février 2012:
Vincent Domenach nous surprend, et nous offre un Œdipe profond et exalté.
LEXTIMES, A. A., janvier 2012:
Un texte, très beau, en alexandrins, pour servir cette tragédie grecque. Une mention particulière à Œdipe / Domenach dont la prestation est de toute beauté.
Gilles Costaz, WEBTHEA, février 2012:
Entendre Œdipe dire : « J’abhorre le flambeau dont je veux m’éclairer / J’ai peur de connaître et ne puis m’ignorer », c’est une délectation.
Marie-Céline Nivière, PARISCOPE, février 2012:
Vincent Domenach est un Œdipe plein de fougue et de jeunesse qui se cogne à son destin.
Jean-Pierre Longre, Mai 2010:
La virtuosité des comédiens, la précision de la mise en scène permettent au comique, au poétique, au tragique de se côtoyer, de se mêler sans se heurter. L’ensemble est séduisant. Passant, arrête-toi au Théâtre du Marais, le temps d’une visite dans les couloirs du métro… Tu ne le perdras pas, ce temps.